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Pauvre humain, cessez donc de me tutoyer : nous n’avons pas élevé les cochons ensemble… / Don’t call me by my first name and don’t you dare ask questions
🎭 🧐 👑 Pauvre humain, cessez donc de me tutoyer : nous n’avons pas élevé les cochons ensemble…
🔹 Cet article n’est ni une charge gratuite ni un règlement de comptes. Il est le miroir parfois légèrement grossissant, de réactions bien réelles, glanées au fil des échanges, publications et discussions autour des médias indépendants du Grand Sud-Ouest parisien (Totale Impro 2.0, GSO News, Forum de l’Info). Des mots jetés à la volée, des postures figées, des certitudes bien installées… que nous avons choisi de compiler, reformuler à peine et théâtraliser légèrement, pour mieux en révéler le fond.
▪️ Bienvenue dans les Forums de l’Info : là où les commentaires parlent, parfois malgré eux, de leur rapport au pouvoir, à la visibilité… et à la liberté d’expression :
👸 La Baronne du Mépris Numérique : Pauvre humain, cessez donc de me tutoyer : nous n’avons pas élevé les cochons ensemble. Vous demeurez, à ce que je constate, toujours aussi prétentieux et arrogant. Et puis de quel droit osez-vous commenter et, pire encore, repartager nos informations sur les réseaux sociaux ? Les communiqués de la mairie me suffisent amplement, merci bien. Influenceur de m…
🏛️ Le Nostalgique du Média Sous Cloche : Ils refusent tout : locaux, subventions… sous prétexte qu’ils n’en ont pas besoin et qu’ils vivent dans ce monde virtuel, le numérique, les réseaux sociaux, où les richesses seraient gratuites. Allons donc. Et puis leurs émissions ? En direct sur Internet, ouvertes à n’importe qui, avec des questions imprévues… non, vraiment, on ne va pas s’abaisser à ça.
💃 La Vedette Auto-Proclamée : Suis-je bien sous mon meilleur profil ? La caméra plutôt de ce côté, merci. Comment ça, « cela ne me regarde pas » ? Mais enfin… c’est tout de même moi la vedette du Talk Show Confluence. Ah bon ? Une invitée parmi d’autres ? Vous êtes absolument certain ? La chaîne Totale Impro 2.0 ne serait donc ni une agence de mannequins, ni une radio ou une télévision, d’accompagnement institutionnel ? Je vous avoue que je ne suis pas habituée à ce genre d’exercice. Une chaîne d’information indépendante, ouverte, sans filtre, où n’importe qui peut poser des questions ? Voyons… Personnellement, je ne connais que le mot chaîne. Le reste me paraît dangereusement libre.
Article de Jean-Pierre Morvan
Animateur et fondateur de GSO Parisien News, Influenceur Média FR78001
www.gsoparisien.news 🔗
🎭 🧐 👑 Don’t Call Me by My First Name And Don’t You Dare Ask Questions
🔹 There is a peculiar kind of authority that doesn’t need to be elected, debated, or even justified. It simply assumes its legitimacy. It speaks in press releases, not conversations. It tolerates visibility, but only when tightly controlled. And it fears one thing above all else: an open microphone.
This piece is not a personal attack, nor a petty settling of scores. It is an op-ed drawn from real comments, real reactions, and real discomfort expressed toward independent media platforms operating outside institutional comfort zones — including Totale Impro 2.0, GSO News, and the Forum of the Info.
What follows is not fiction. It is satire — lightly edited, barely exaggerated — because reality, in this case, does most of the work on its own.
Welcome to the Forum of the Info, where resistance to free speech often reveals itself in the language of etiquette, professionalism, and “how things are usually done.”
👸 The Baroness of Digital Contempt. “Don’t call me by my first name. We didn’t raise pigs together.” In a single sentence, the hierarchy is reasserted. Not through argument, but through tone. Familiarity is framed as insolence. Dialogue becomes disrespect. And public conversation is recast as an offense against rank. The idea that citizens — or journalists — might comment on, question, or redistribute information outside official channels is not merely unwelcome. It is seen as illegitimate. Social media, in this worldview, is not a public square. It is a nuisance.
🏛️ The Guardian of the Media Under Glass. Independent platforms, we are told, are suspicious because they refuse subsidies, offices, or institutional alignment. They operate in a “virtual world” where value appears unearned and access is dangerously open. Live broadcasts? Open questions? Unscripted exchanges? Unthinkable. Because unpredictability is the enemy of control. And control, not truth, is what defines credibility in this mindset.
💃 The Self-Proclaimed Star. Then there is the confusion of roles. The guest who believes they are the show. The interviewee who expects choreography, not conversation. The public figure who mistakes independent media for a PR service, a modeling agency, or a reputational shield. An open channel — one where anyone can ask questions — feels “dangerously free.” Not because it is chaotic, but because it does not guarantee dominance.
🔹 The Real Issue Isn’t Influence. It’s Power.
These reactions are not about influencers. They are about gatekeeping.
They reveal a discomfort with horizontal media, participatory journalism, and platforms that do not ask permission. They expose an old reflex: if a space is not controlled, it must be discredited.
But free speech was never meant to be comfortable.
And journalism was never meant to be obedient.
Independent media does not exist to flatter, frame, or filter reality for those in power. It exists to question, to listen, and sometimes — inevitably — to disturb.
That discomfort is not a bug.
It’s the point.
By Jean-Pierre Morvan
Host & Founder – GSO Parisien News
Independent Media · Free Speech Advocate
www.gsoparisien.news 🔗
Jean-Pierre Morvan
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