Dans le tumulte actuel des mots, il est pourtant des hommes rares, des passeurs. Ceux-ci tendent l’oreille, prennent le temps d’écouter… Merci de distiller ainsi l’oxygène dont nous, Saltimbanques d’aujourd’hui, avons besoin pour continuer à vibrer. Pour continuer à exister…
Dans le tumulte actuel des mots, il est pourtant des hommes rares, des passeurs. Ceux-ci tendent l’oreille, prennent le temps d’écouter avant d’écrire, et savent faire résonner nos voix au-delà du plateau. Je remercie aussi tout particulièrement Jean-Pierre, qui s’est fait, au fil de ses interviews et émissions, un interlocuteur attentif, curieux et profondément humain. Merci de distiller ainsi l’oxygène dont nous, Saltimbanques d’aujourd’hui, avons besoin pour continuer à vibrer. Pour continuer à exister…
